亚洲 不爽 就干,玩50岁四川熟女大白屁股直播

中文天堂黄色www,国自产拍偷拍精品啪啪模特,午夜同房男女爽爽爽免费看,国产精品无码AV天天爽播放器

(Multimédia) ZOOM AFRIQUE : Le sommet du G20 à Johannesburg vise à établir un consensus entre les pays du Sud global sur la gouvernance mondiale

www.gamma-holding.com | 2025-11-21 à 19:58

Vue du site où se tiendra du 22 au 23 novembre le 20e sommet du Groupe des 20 (G20) à Johannesburg, en Afrique du Sud, le 17 novembre 2025. (Xinhua/Shiraaz Mohamed)

Le sommet des dirigeants du G20 se tiendra samedi et dimanche à Johannesburg, en Afrique du Sud, le premier à se dérouler sur le sol africain.

JOHANNESBURG, 21 novembre (Xinhua) -- Le sommet des dirigeants du G20 se tiendra samedi et dimanche à Johannesburg, en Afrique du Sud, le premier à se dérouler sur le sol africain.

Sous le thème "Solidarité, égalité, durabilité", ce rendez-vous illustre le moment crucial que traverse l'Afrique, qui cherche à amplifier sa voix dans la gouvernance mondiale et à faire progresser les priorités de développement partagées par tous les pays du Sud global.

Selon des observateurs, sa tenue reflète l'influence croissante de l'Afrique et les attentes de la communauté internationale, qui espère que la Chine et d'autres membres du Sud global contribueront à établir un consensus sur le multilatéralisme et le développement inclusif.


C'EST LE MOMENT POUR L'AFRIQUE


L'entrée de l'Union africaine (UA) au G20 en 2023 a été célébrée à travers tout le continent comme un "moment africain". Aujourd'hui, alors qu'un sommet du G20 se tient pour la première fois en Afrique, des analystes estiment que cela marque un tournant historique : les pays africains passent du statut de participants passifs à celui de contributeurs actifs dans l'élaboration des agendas mondiaux.

Alvin Botes, vice-ministre sud-africain des Relations internationales et de la Coopération, a dit que son pays travaillait "main dans la main" avec l'UA "afin d'amplifier la voix de l'Afrique dans la gouvernance économique mondiale, tout en veillant à ce que les priorités de développement du continent africain et des pays du Sud global soient clairement inscrites à l'ordre du jour du G20".

Depuis qu'elle a pris la présidence du G20 l'an dernier, l'Afrique du Sud s'est efforcée d'orienter ce sommet vers la promotion du programme de développement des pays du Sud global, en particulier des pays africains, et a identifié quatre priorités : renforcement de la résilience et de la réponse aux catastrophes, prise de mesures pour garantir la viabilité de la dette des pays à faible revenu, mobilisation de financements pour une transition énergétique juste et exploitation des minéraux essentiels pour une croissance inclusive et un développement durable.

Aux yeux de Momar Diongue, directeur général de l'Agence de presse sénégalaise, "le fait que le G20 se tienne pour la première fois sur le continent africain est hautement symbolique, mais aussi stratégique : cela place nos priorités économiques au c?ur des discussions mondiales".

Il a ajouté que grace à l'intégration régionale, l'Afrique "est en train de devenir une force motrice dans la formulation de propositions".

Pour Peter Kagwanja, directeur général de l'Africa Policy Institute, un think tank basé au Kenya, "la participation croissante de l'Afrique aux processus décisionnels mondiaux marque une transformation significative du système international où les pays du Sud global autrefois marginalisés et exclus des discussions clés telles que celles portant sur les réformes financières, la viabilité de la dette et le changement climatique, font désormais entendre leur voix et exercent leur influence avec audace, et participent pleinement à la résolution de ces défis".


UNE DYNAMIQUE SUD-SUD


Dans un contexte marqué par de rapides changements inédits en un siècle, une croissance économique mondiale atone et un déficit de développement croissant, les pays africains sont confrontés à des chocs climatiques, à un endettement croissant et à d'autres pressions. Selon des experts africains, le sommet de Johannesburg contribuera à promouvoir la coopération, à soutenir le développement de l'Afrique et à offrir une "perspective africaine" pour relever les défis mondiaux.

Le président sud-africain Cyril Ramaphosa considère le sommet de cette année comme une occasion de placer plus fermement les besoins de l'Afrique et du reste des pays du Sud global à l'agenda international du développement.

"Nous attendons du sommet qu'il prenne un engagement politique pour remédier à la vulnérabilité de la dette des pays à faible et moyen revenu", a-t-il dit, disant espérer qu'un consensus atteint lors de l'événement inclue "un engagement à renforcer davantage la mise en ?uvre du Cadre commun du G20 pour le traitement de la dette de manière prévisible, opportune et coordonnée".

Selon Lemmy Nyongesa Mulaku, professeur d'études internationales à l'Université de Nairobi, ce sommet du G20 en Afrique "offre l'occasion d'entamer de véritables réformes visant à rééquilibrer ces relations grace à la réforme des institutions de gouvernance mondiale telles que la Banque mondiale, le FMI et l'OMC".

Il "offre une occasion de renforcer le partenariat entre la Chine et l'Afrique, non seulement pour faire avancer les solutions d'adaptation au changement climatique, mais aussi pour les ancrer dans les institutions et les structures de gouvernance mondiale", a-t-il ajouté.

Des observateurs notent que l'Afrique a réalisé des progrès significatifs en matière de transition écologique et d'économie numérique. Comme l'a souligné David Mugisha Begumya, professeur à l'Université internationale d'Afrique de l'Est en Ouganda, le continent dispose d'un énorme potentiel pour relever les défis climatiques mondiaux, ce qui en fait un fournisseur croissant de solutions écologiques.


UNE REFORME DE LA GOUVERNANCE MONDIALE


A l'heure où la réforme de la gouvernance mondiale se trouve à la croisée des chemins, il est essentiel, pour garantir qu'elle soit juste et efficace, de veiller à ce que les pays en développement participent de manière égale aux grandes décisions en matière de gouvernance mondiale.

La Chine a été "le plus grand et le plus fondamental des soutiens" à la promotion d'un ordre international plus juste et plus équitable, estime Yarbane Kharrachi, conseiller auprès du ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique de Mauritanie, soulignant le soutien précoce de Beijing à l'adhésion de l'UA au G20.

Avant le sommet, les Etats-Unis ont annoncé leur décision de ne pas y participer et ont mis en garde l'Afrique du Sud contre toute tentative de faire adopter une déclaration commune.

"La politique du boycott ne fonctionne jamais", a répondu M. Ramaphosa. "Si vous boycottez un événement ou un processus, vous perdez, car le spectacle continuera".

Des analystes africains observent que cela souligne une fois de plus l'urgence d'une réforme de la gouvernance mondiale. Selon eux, la position ferme de l'Afrique du Sud reflète la détermination des pays du Sud global à promouvoir un système de gouvernance mondiale plus équitable et à remplacer la domination unilatérale par une coopération multilatérale.

La Chine apporte un capital culturel et intellectuel unique, offrant des perspectives alternatives sur la gouvernance mondiale et le développement, analyse David Monyae, directeur du Centre d'études Afrique-Chine à l'Université de Johannesburg.

Pour lui, "cette approche incarne le principe selon lequel toutes les civilisations sont égales, un principe qui devrait guider l'Afrique et les autres pays du Sud global dans l'élaboration collaborative des programmes de développement et de gouvernance".

Vous avez une question, une remarque, des suggestions ? Contactez notre équipe de rédaction par e-mail à xinhuanet_french@news.cn
Sponsored by Xinhua News Agency. Copyright ? 2000- XINHUANET.com All rights reserved.